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Soft Cell
The Art Of Falling Apart
Soft Cell sort The Art of Falling Apart, et prouve qu’on peut transformer la dépression en synthpop dansante sans perdre une goutte de mascara. Marc Almond chante les névroses urbaines avec l’intensité d’un acteur de théâtre enfermé dans une boîte à rythmes, pendant que David Ball programme des claviers qui suintent l’angoisse élégante. “Forever the Same” ouvre le bal avec une boucle qui tourne en rond, “Numbers” compte les désillusions, et “Martin” raconte l’histoire d’un garçon qui aime un peu trop les couteaux. Le duo glisse un medley de Hendrix, parce que pourquoi pas, et l’album entier donne l’impression d’un cabaret post-apocalyptique où tout le monde danse en pleurant. Soft Cell ne tombe pas, il s’effondre en slow motion.
pour prolonger l’écoute
Warm Leatherette – The Normal
Torch – Soft Cell
Oblivion – Grimes
A1
Forever The Same
A2
Where The Heart Is
A3
Numbers
A4
Heat
B1
Kitchen Sink Drama
B2
Baby Doll
B3
Loving You, Hating Me
B4
The Art Of Falling Apart














