By continuing your navigation on this website, you accept the use of cookies for statistical purposes.

bdrmm

Microtonic

bdrmm - Microtonic | Rock Action Records (ROCKACT164LP) - main
bdrmm - Microtonic | Rock Action Records (ROCKACT164LP) - 1bdrmm - Microtonic | Rock Action Records (ROCKACT164LP) - 2bdrmm - Microtonic | Rock Action Records (ROCKACT164LP) - 3bdrmm - Microtonic | Rock Action Records (ROCKACT164LP) - 4

A1

Goit

A2

John On The Ceiling

A3

Infinity Peaking

A4

Snares

A5

In The Electric Field

B1

Microtonic

B2

Clarkycat

B3

Sat In The Heat

B4

Lake Disappointment

B5

The Noose

29€
Add to basket

*Taxes included, shipping price excluded

Add to wantlist

Avec leur premier album éponyme "Bedroom" sorti en 2020, le quatuor bdrmm s'est positionné à l'avant-garde de la renaissance du shoegaze made in UK. Imprégnant leurs rythmes de distorsion, le groupe originaire du Yorkshire s'inspire des années 1990 pour créer son propre son, à la fois sombre et rêveur. Les voix, masquées de réverbération, se mêlent à des guitares noyées dans le chorus et à des nappes de synthétiseurs mélancoliques… Tous les éléments étaient réunis. Confiant sa production à Alex Greaves ( Working Men’s Club ), leur deuxième album "I Don't Know" (2023) passe de la musique shoegaze à des sons électroniques multicouches, y ajoutant du piano, des cordes et, à l'occasion, des rythmes de danse. Le son d’un Slowdive, d’un Ride voire d’un Cure, faisant sonner très moderne des mélodies à l’ancienne. Leur nouvel album, "Microtonic", explore encore plus de territoires sonores, offrant un disque plus sombre, teinté d'influences ambiantes et de textures électroniques qui apportent une fraîcheur bienvenue à leur musique. Cet album regorge de sons et de textures variés et intéressants, accompagnés de superbes mélodies et voix. Alex Greaves accentue l'aspect dansant du disque, s'inspirant d'éléments d'ambient, d'acid house, de techno et de dubstep. À l'écoute de "Snares", on pourrait même penser aux sous-estimés Real Lies, avec ses segments de spoken word, ses rythmes de batterie nerveux et ses paroles dystopiques. "Infinity Peaking" évoque un très bon Dave Gahan, tandis que "Clarkycat" représente une conjugaison magique entre l'électro et les guitares. Les guitares vaporeuses se mêlent à des beats électroniques subtils sur "Goit", avec en guest Sydney Minsky-Sargeant de Working Men's Club. The Noose" clôt l'album sur une note inévitablement obsédante, indéniablement cinématographique, et shoegaze à souhait, tout en intégrant une finesse électronique. Un tournant audacieux pour le groupe, une bien belle réussite !