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Trees Speak
Timefold






A1
Timefold
A2
Prodrome
A3
Digital Oracle
A4
Emotion Engine
A5
Phenomena
A6
Psychic State
A7
Xenoworld
A8
Post Truth
B1
Chronosphere
B2
Among Us
B3
Entity System
B4
Cybernetics
B5
They Know
B6
Synchrotron
B7
Dreamless
B8
Silicon Visions
B9
Forever Chemicals
Trees Speak - derrière ce projet se cache l’artiste visuel Daniel Martin Diaz basé à Tucson, Arizona, épaulé par son batteur de frère, Damian. Le concept de "TimeFold", leur sixième album, explore l’idée que les arbres communiquent et pourraient un jour stocker des données. Le duo prouve une nouvelle fois leur capacité à composer des morceaux instrumentaux planants et fortement marqués par le rock allemand des seventies. Ils explorent des horizons musicaux variés : paysages intergalactiques, bandes-son imaginaires de films muets des années 1920, krautrock motorik, synthétiseurs à la Kyle Dixon & Michael Stein auteurs des BO Stranger Things et sculptures sonores ambient. Une relecture du krautrock et de la kosmische Musik en 17 plages du plus bel effet, on jurerait écouter Popol Vuh, Klaus Schulze, mais leur musique peut aussi ramener à l’univers d’un Goblin ou de Carpenter. L'album intègre également les influences profondes du duo, qui s'étendent à des pionniers de l'électronique comme Jean-Michel Jarre (époque Oxygene) et Karlheinz Stockhausen. S'appuyant sur les techniques révolutionnaires de Musique Concrète, "TimeFold" propose des boucles et des collages expérimentaux qui rappellent l'âge d'or de la musique d'avant-garde. L'un des éléments nouveaux de cet album est aussi l'ajout de paroles d'Ashley Christine Edward, rappelant l'univers de Ruth White. Une musique étrange, minimale et envoûtante, à moitié improvisée, quelques fois mécanique et d’autres fois plus aérienne, qui parvient à être à la fois contemporaine et intemporelle.