Alan Sparhawk

Alan Sparhawk de Low, , après la perte de Mimi Parker, rompt avec le passé en s'engageant dans un nouveau chapitre musical, cherchant une autre voie/ surtout une autre voix, avec son album solo "White Roses, My God". Plutôt que de se complaire, Sparhawk embrasse l’inconnu, en chantant et en rappant via un vocodeur sur des boucles de boîte à rythmes, des percussions électroniques tordues et des synthés électro vintage. Comme sur le premier surprenant single trap? "Can U Hear" et sa voix déformée, troublante mais convaincante, gémissante et improvisante. C'est intriguant parce qu'il ne fait pas un album de rap, mais réfléchit à ce que sa musique pourrait ressembler après avoir absorbé ces influences. Bien que le chagrin soit un thème central, l'album transcende cette émotion, offrant une profondeur et une expérimentation qui vont au-delà de la douleur. Alan désire non pas simplement évoquer la perte, mais utiliser la musique comme un moyen de libération et d'exploration, à travers des paroles poignantes et des rythmes captivants. 11 titres hors norme pensez à Lil Uzi Vert, 1000 Gecs, Johnny Jewel du Italians Do It Better, Prince et à classer à côté de "The Collective" de Kim Gordon. Ce premier album est à la fois une nouvelle aventure audacieuse, imprégnée d'électro-pop, d'expérimentations punk et funk, une extension de l'innovation et de l'expérimentation qui a guidé son travail en tant que membre de Low.