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Barry Adamson
Cut To Black






A1
The Last Words Of Sam Cooke
3:22
A2
Demon Lover
3:53
A3
Cut To Black
3:55
A4
Manhattan Satin
4:16
A5
These Would Be Blues
4:36
B1
Please Don't Call On Me
4:54
B2
Amen White Jesus
3:41
B3
One Last Midnight
4:26
B4
Was It A Dream?
4:00
B5
Waiting For The End Of Time
6:00
Barry Adamson s’est fait un nom sur la scène post-punk britannique en tant que bassiste avec Magazine. Lorsque le groupe se dissout, cinq albums plus tard, en 1981, son style singulier est repéré par The Birthday Party, avec qui il joue à plusieurs reprises, puis trois ans avec Nick Cave & the Bad Seeds. A la fin des années 80, il amorce une carrière solo. De Moss Side story (1989) à Soul Murder (1992), ses premiers albums sont une suite de B.O. pour films imaginaires, toutes inspirées d’une passion intime pour la véritable musique de film. Il a d'ailleurs travaillé avec David Lynch (The Lost Highway, 1997), Oliver Stone (Natural Born Killers, 1994) et Danny Boyle (The Beach, 2000). Son dixième album solo, Cut To Black", son premier disque depuis huit ans, embrasse des compositions de genres différents qui sont sa marque de fabrique, couvrant la pop, la soul, le jazz, le hip-hop et le gospel. l'œuvre d'Adamson est soit profonde et engageante, abordant des thèmes importants tels que la race et l'évolution de la société depuis les mouvements des droits civiques. Son approche artistique est à la fois habile et ludique, mêlant jeux de mots et associations joyeuses pour susciter la réflexion. Il est fascinant de voir comment il combine l'auditif et le visuel pour créer une expérience artistique immersive. Pour les fans d'Angelo Badalamenti, de Massive Attack et de post-punk en général.